La sagesse antique

Vaste schéma de l'enseignement de l'éternelle sagesse qui expose les différents plans de l'univers, la constitution de l'homme dans son ensemble et les principales lois qui régissent son évolution : tous ces enseignements renouvelés du fonds commun des religions, nous révèlent la cohérence et l'unité de la manifestation. « Un des avantages de la théosophie est que la lumière dont elle nous entoure résout un grand nombre de problème qui nous tourmentent, aplanit bon nombre de difficultés, explique les raisons de l'injustice apparente de la vie. Elle ne demande pas à ses partisans de croire les enseignements qu'elle expose et n'attribue pas au mot «croyance» le sens qui lui est généralement attribué ! L'étudiant de l'occulte sait une chose ou diffère son jugement en prenant garde de ne jamais faire preuve d'une foi aveugle ! Celui qui débute ce travail ne sait rien de façon innée, on lui demande seulement de lire les observations et travaux des autres, de les accepter de façon provisoire avant d'acquérir par lui-même la preuve de leur justesse. L'âme de l'homme est immortelle, et son avenir est celui d'une chose dont le développement et la splendeur n'ont pas de limite. Le principe qui donne la vie habite en nous et hors de nous ; il ne se meurt jamais, il est éternellement bienfaisant ; il ne peut être vu, ni entendu, ni senti, mais il est perçu par l'homme qui désire la perception. Chaque homme est à lui-même, absolument, son propre législateur, le dispensateur de sa gloire et de son obscurité, l'arbitre de sa vie, de sa récompense, de son châtiment. Ces vérités sont grandes comme la vie elle-même, et pourtant simples comme la plus simple des intelligences humaines» » (www.paraexodus.com). Annie Besant (née Wood le 1er octobre 1847 à Londres, décédée le 20 septembre 1933 à Chennai) fut une conférencière, féministe, libre-penseuse, socialiste et théosophe britannique qui prit part à la lutte ouvrière avant de diriger la Société Théosophique puis de lutter pour l'indépendance de l'Inde.