Au fil de courts chapitres auréolés d'étrangeté, Zoé Jusseret évoque la difficulté à se sentir femme par le biais d'images, dessinées comme symboliques, aussi brutales que touchantes.
Qui mange des couteaux marie la violence et la beauté par la grâce d'un imaginaire subtil : conte moderne et puissant, c'est un joyau noir qui brille d'une douce mélancolie.