L'univers de la justice et des tribunaux est exploité en littérature depuis tout temps. Probablement parce que le jugement des Hommes par les Hommes posera toujours beaucoup de questions, laissera toujours quelques interstices, et fera toujours l'objet de débats. Probablement aussi parce que des vies se jouent pendant ces procès et qu'on y fait ni plus ni moins les portraits de ceux que l'on accuse ou défend, et qu'il y a là matière à faire littérature !
Le nécessaire à écrire de Georges Simenon, montré lors d’une exposition à Liège, en Belgique, en 2010. © Philippe Renault