Gallimard
Rencontre proposée par Yves Le Pestipon. Beaumarchais, Le Barbier de Séville, II, 8, de « Le comte Almaviva » à « finissons »…
Rien de plus important que la calomnie. On le constate tous les jours, en ces temps de « fake news ». Basile, dans Le Barbier de Séville, paraît anticiper Internet et les réseaux sociaux, parfois « chorus universel de haine et de proscription ». Beaumarchais a su, en tout domaine, aller plus vite que tout le monde. À nous de le lire, de l’écouter, de le suivre, et même d’entendre, chez Rossini, encore et encore, l’air de la calomnie.